Pendantune soirée, je ne me sens pas bien – que ce soit dans ma vie pro ou familiale, je ne suis pas au top. Je m'isole sur le balcon quand une inconnue vient me voir. Elle passe une heure à Thesecret way to pass French in high school. Jesuis rentrée à la maison environ 30 minutes plus tard. A peine étais-je entrée que sa maman a débarqué sous prétexte de ranger un récipient de je ne sais quoi dans notre congélateur. Le geste en lui-même n’est pas inhabituel, en bons voisins on se rend service. Sauf qu’en général c’est un de ses enfants qui fait ce genre de Jene sais pas ce que cela a déclenché en moi, et j’ai décidé de ne pas en parler à mon psy, mais, en tout cas, c’était « mortel », comme on dit. Il a tout de suite senti l’effet que Tute poses des questions sur ton orientation sexuelle ou ton identité de genre ? Tu as peur de te tromper ? Cette vidéo est faite pour toi !Regarder une pub Lechoix n’est pas totalement libre. « ‘Qu’il’ s’impose quand ce qui suit le verbe ne peut être analysé que comme sujet logique. ‘Je prendrai ce QU’il me plaira de prendre’ » (« ibidem »). Cependant, « quand le verbe impersonnel n’admet comme sujet logique qu’une proposition, ‘qui’ est préféré : ‘C’est ce Sommaire 1 Tout le monde se pose cette question; 2 Pourquoi j’ai besoin de savoir si je lui plais; 3 Il s’intéresse à moi; 4 Comment savoir si je lui plais : il est tactile avec moi; 5 Je sais que je lui plais quand il me fait suffisamment confiance pour se confier; 6 Comment savoir si je lui plais : les signes physiques qui ne trompent pas; 7 Il ne se laisse pas désirer Jene sais pas ce que je veux, mais je sais ce que je ne veux pas ! film Vicky Cristina Barcelona. 2. L'amour vainc tout. Absolument tout, si tu sais ça, tu sais tout, et tu fonces. L'amour est la seule chose qui te rend radieux, pétant feu et flamme. Guy Gilbert. Jesuis vraiment inquiet et je ne veux pas que ce problème me gâche ma future vie sexuelle. Je vous remercie d'avance pour votre réponse. Je vous remercie d'avance pour votre réponse Ceque tu peux faire. Élargis tes horizons. Fais- toi de nouveaux amis. Trouve un nouveau passe-temps. Cherche de nouveaux centres d’intérêt. Les personnes qui s’intéressent à beaucoup de choses ont tendance à moins s’ennuyer quand elles se retrouvent seules, et à être moins ennuyeuses quand elles sont avec d’autres ! gVTe7. Merci de m'avoir donner vos avis! Non je n'ai pas l'intention de faire mannequin! J'ai dis que j'aurais bien aimé, mais je suis consciente que je suis loin d'avoir un physique de top modèle! ^^Mon nez et ma bouche me complexe, j'aimerais faire de la chirurgie mais je ne sais pas trop...Si ma meilleure amie est gentille, c'est juste que m'on est franche l'une avec l'autre, si un truc ne va pas chez elle je lui dis, et elle trouve qu'elle est belle, et dans la rue quand on sort, tous les mecs la regarde elle, mais je sais pas si c'est le fait qu'elle s'habille hyper sexy ou si c'est parce qu'elle est beaucoup plus belle que moi..Voilà une photo d'elle, et dites moi sincèrement si vous la trouvez plus jolie s'il vous [...] Si on vous demande qui êtes-vous ? », vous répondrez probablement par votre nom, votre prénom, la ville d’où vous venez, votre âge. Vous parlerez certainement de vos passions, de votre profession, de votre caractère. Mais à aucun moment vous ne direz à votre interlocuteur je suis une conscience ». Pourtant, c’est le cas. Mais si on ne le fait pas, c’est parce qu’on du mal à percevoir la complexité de notre je », autrement dit, on ne sait pas vraiment ce qui constitue notre moi » intérieur, notre conscience. Si vous aussi vous vous demandez Qu’est-ce que je suis vraiment ? À quoi sert ma conscience ? Suis-je toujours en accord avec moi-même ? Quelle maîtrise puis-je espérer avoir sur moi ? Les philosophes Descartes, Rousseau, Hume, Kant devraient vous aider à y voir plus clair. D’abord, c’est quoi la conscience ? Il s’agit du moi », et du fait de pouvoir dire je » et en sachant qu’il s’agit de moi-même. Quelques caractéristiques de la conscience Elle est immatérielle on ne peut pas la voir, ni la toucher. Elle est intérieure eh oui, elle est en nous. Elle est subjective comme notre conscience n’est rien qu’à nous, nos pensées/idées/croyances nous appartiennent, et sont donc purement subjectives. En d’autres termes, notre conscience, c’est ce qui nous permet d’être lucide sur le moment présent, en ayant une idée claire de la situation dans laquelle on se trouve. Par exemple j’ai conscience que je suis assis sur une chaise plus ou moins confortable, en lisant un article de philosophie sur le site de l’Institut Pandore. Je sais que c’est moi et seulement moi qui vit ce moment. Et notre conscience, elle fait quoi ? Elle nous définit, certes, mais surtout, elle pense.. Rappelez-vous, il y a quelques temps j’écrivais un article sur Descartes et sa découverte du moi qui pense . Pour résumer, Descartes partait du principe que depuis notre plus jeune âge, nous avons accepté sans discernement des opinions douteuses que l’on croyait vraies. De ce fait, une grande partie de notre savoir s’avère être faux. Alors pour remédier à cela, Descartes se met à douter de tout, il élimine ses croyances pour refonder tout son savoir sur des bases solides. Et qu’est-ce qu’il découvre ? Eh bien Descartes tombe nez à nez avec sa conscience. Il réalise que la seule chose qui soit certaine, c’est que nous sommes tous des sujets qui pensent et qui en sont conscients, d’où le je pense donc je suis ». Je ne suis donc, précisément parlant, qu’une chose qui pense, c’est-à-dire un esprit, un entendement ou une raison. — Méditations métaphysiques 1641, René Descartes Peu importe si on pense tous de manière différente, la seule chose qui compte, c’est que l’on pense. Ainsi, l’action de penser définit donc l’homme contrairement aux objets ou aux animaux qui ne pensent pas. À noter Descartes est le premier philosophe à introduire la notion de conscience » en philosophie au XVIIe siècle et c’est aussi pour ça que sa pensée a révolutionné le monde. Et à part penser, à quoi nous sert notre conscience ? Pour Jean-Jacques Rousseau, l’homme est perfectible, c’est-à-dire qu’il peut devenir meilleur de jour en jour. Et l’outil qui permet à l’homme de se perfectionner au quotidien, c’est ce qu’il appelle la conscience morale ». Cette conscience morale est comparée à une voix intérieure qui aurait autorité sur nous elle servirait à nous montrer le bien et le mal, et à nous remettre le bon chemin lorsque l’on s’égare un peu. Notre conscience morale est universelle et nous permet de renouer avec notre instinct, c’est-à-dire, notre liberté originelle et ce à quoi on aspire vraiment. Mais le souci avec cette petite voix, c’est que nous sommes libres de l’écouter ou pas. Et malheureusement, parfois, elle ne parle pas assez fort ou elle est couverte par nos peurs, nos proches ou même la société. Ainsi, lorsque l’on se retrouve à aller sur des chemins qui ne nous conviennent pas, si on fait des choix qui ne nous correspondent pas, c’est bien souvent parce que l’on a négligé notre conscience morale, car elle seule aurait pu nous guider vers la bonne voie. Il ne tient qu’à nous d’apprendre à l’écouter, car une chose est sûre, cette voix intérieure nous veut du bien. Ok on a une conscience, on pense, mais est-ce qu’on est toujours en cohérence avec nous-même ? Pour le philosophe écossais David Hume, la réponse est non. Il s’oppose farouchement à la thèse de Descartes qu’il démonte gentiment dans son Traité de la nature humaine Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi » — David Hume, Traité de la nature humaine. Pour faire simple, Hume se demande comment puis-je être sûr que je suis toujours moi ? Et à cela, il répond que la conscience est toujours partielle car elle se limite à ce que l’on voit ou à ce que l’on ressent à nos sens quoi. Selon Hume, notre conscience ne serait qu’une suite de perceptions douleurs, sentiments, chaud, froid, tristesse… et cela, sans identité propre. Autrement dit, si vous croyez que vous êtes unique et que vous avez une personnalité hors du commun… Détrompez-vous, Hume vous affirme le contraire, et il va même plus loin pour lui, l’identité personnelle n’est qu’une fiction de l’imagination. L’esprit est une sorte de théâtre où plusieurs perceptions font successivement leur apparition, passent, repassent, s’écoulent et se mêlent en une infinie variété de positions et de situations. Il n’y a pas proprement en lui de simplicité à un moment unique, ni d’identité à différents moments, quelque penchant naturel que nous ayons à imaginer cette simplicité et cette identité. — David Hume, Traité de la nature humaine Mais comment il arrive à penser ça ? D’abord, Hume est un philosophe empiriste, c’est-à-dire qu’il considère que toutes les connaissances humaines proviennent de l’expérience sensible. Nos sens seraient donc la source de notre savoir. Partant de ce principe là, Hume s’interroge sur le moi », et réalise que le seul moyen de rencontrer ce moi », c’est lorsque l’on ressent quelque chose. Par exemple il fait froid, votre moi » frissonne ; vous êtes triste, vous versez une larme ; vous vous êtes coupé le doigt, vous avez mal au doigt, etc. Conclusion le moi » n’existe que quand on ressent quelque chose, et comme nos sensations et nos perceptions sont toujours changeantes on n’est pas tous les jours tristes, on n’a pas tout le temps froid, et on n’a pas le doigt coupé en permanence. Si le moi » n’a pas d’identité propre, c’est donc parce que l’on ne construit pas une personnalité sur des perceptions/sensations changeantes ! La conscience est seulement l’outil qui permet de ressentir. Quelle maîtrise peut-on espérer avoir sur nous-même ? Comme l’affirmait Descartes, notre conscience nous permet en premier lieu de penser. Mais malheureusement, pour le philosophe allemand Emmanuel Kant, penser correctement est une tâche bien trop difficile pour nous. En effet, selon Kant, très peu de gens savent réellement penser par eux-même. La majorité se réfugie dans des préjugés = croyances dont nous ne sommes pas maîtres, qui proviennent de notre histoire ou de notre tempérament et beaucoup construisent leurs opinions sur de grossiers clichés. Voilà pourquoi Kant affirme que l’on ne sait pas, ou du moins que l’on n’a pas le courage d’utiliser notre entendement = faculté de penser et de comprendre en utilisant sa raison. Kant explique que beaucoup se laissent dicter leurs pensées par des proches, par la société, ou la doxa = l’opinion publique. Ces gens paresseux et lâches » sont appelés des adultes mineurs ». Et vous l’aurez compris, le but ultime est de devenir majeur », c’est-à-dire des adultes qui arrêtent de se complaire dans cette passivité de la pensée et qui osent penser comme ils l’entendent. Alors comment penser par soi-même ? Kant nous donne la méthode à appliquer, dans Critique de la faculté de juger, à travers 3 maximes à appliquer Apprendre à penser par soi-même en virant tous nos préjugés. Penser en se mettant à la place d’autrui, c’est-à-dire, avoir l’esprit ouvert et penser de manière universelle et objective. Toujours penser en accord avec soi-même, être toujours cohérent dans sa pensée et dans ses actes. Pour conclure… L’homme est à la fois le plus proche et le plus éloigné de lui-même », disait Saint Augustin. Et maintenant, vous comprenez pourquoi. La nature humaine est complexe nous sommes tous dotés d’une conscience qui nous permet de penser, d’avoir des valeurs morales contrairement aux animaux, de nous reconnaître comme humain ». Pour autant, savoir que j’existe et que j’ai une conscience, ce n’est pas connaître qui je suis vraiment ça, c’est votre part du travail, personne ne peut le faire pour vous. Bonsoir Aska, j'espérais que tu ne sois pas "timide"... ! je le suis moi-même, donc, en effet, c'est difficile d'aller vers les autres ou d'aller à la rencontre de nouvelles choses_ ce que je voulais dire par "expérience". Est-ce que tu as entrepris un travail sur cette timidité ? Si tu ne traites pas avant tout cette anxiété sociale, tu n'iras pas très loin. Cela gène trop au quotidien, comme tu le sais. Il y a deux ans, j'étais exactement à ta place. j'étais en fin d'année scolaire au lycée et l'angoisse était si forte que j'ai planté mes oraux... parce que je n'étais pas préparée à cette épreuve. Alors, ce que je te conseille, pour les examens, si tu as des oraux, demande à quelqu'un de confiance de te mettre en situation. C'est très difficile mais si tu le fais souvent, la tension baissera. Mais sans motivation, je sais, c'est bien pire. Est-ce que tu ne peux pas... essayer de t'évader grâce à certaines matières qui te plaisent ? j'avais des cours de dessins et de littérature; je m'y plongais comme dans une passion, sans faire réellement attention au contenu du cours, je voyais dans les tableaux et les livres, ce que je voulais y voir. De cette manière, tu prends du plaisir, donc tu oublies la douleur. Mais je pense que le vide que tu ressens et la timidite viennent d'un même facteur. Reste à le déterminer... Et je pense vraiment que tu devrais voir quelqu'un qui pourra t'aider car progresser seul est très difficile, surtout quand on ne croit pas en soi. As-tu une idée d'où cela peut venir ? Quand ça a commencé ? Si tu entreprends un suivi, d'abord, tu feras "connaissance" avec le ou la professionnelle; tu verras s'il te correspond. Ensuite généralement, pour ce type d'anxiété, on procède par petits objectifs. Tu devras prendre en compte toutes les choses qui te sont difficiles en les plaçant sur une échelle de difficultés. Petit à petit, tu graviras les échelons, et tu parviendras à dépasser ta timidité. Cela passe par la gestion du stress. Est-ce que tu sais comment t'y prendre ? je peux te donner de petits trucs très simples, si tu veux. Puis... il faudra combler le vide social. Tu sauras quand le combler, il y a un déclic; tu sentiras que tu peux prendre des risques, parce que tu sauras négliger ta peur; l'objectif aura plus d'importance. Mais tu peux y parvenir. je t'explique tout cela, parce que je sais qu'un premier entretien fait toujours peur. Pour ce qui est de l'université à l'automne prochain... Ca m'avait beaucoup angoissée moi aussi; j'avais très peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas me repérer dans les bâtiments, etc... L'important, je crois, c'est de choisir la filière qui te plais. je m'étais inscrite en Lettres et finalement... ça ne m'a pas plû du tout et j'ai tout laissé tomber. Mais si ça te plaît, tu y arriveras. De plus, à la fac, les gens sont différents, viennent de tous les horizons et il y aura plus de chances que tu t'y fasses des amis, puisqu'ils auront, un point en commun avec toi la passion pour le cursus choisi. Mais, j'ai envie de te dire ne t'inquiète pas pour cela ! Tu as bien le temps d'y penser. Si tu commences à appréhender les choses aussi loin dans l'avenir, les événements vont se cumuler et tu auras l'impression que tout cela est insurmontable... et tu perdras ta motivation et toutes envies quelle qu'elle soit. Alors quand tu sens les ruminations monter, dis-toi juste "STOP !" et visualise quelque chose qui te plaîs, une situation agréable que tu as vécu ou que tu aimerais vivre, un pays que tu aimerais découvrir... Si tu apprends à faire cela, tu te sentiras plus légère, tu pourras prendre les choses une par une et l'anxiété baissera. Une chose à la fois et si tu en rates une ? Pas grave, tu recommenceras, enrichie parce que tu sauras ce qu'il fallait faire pour la prochaine fois. Pour tes amies, c'est vrai... c'est tout à fait différent de dire "je n'ai, paraît-il, rien d'intéressant" et "je ne me sens pas intéressante"...! Rien qu'au niveau de ton corps, essaie de dire les deux phrases à voix hautes, l'une après l'autre en laissant un temps d'écart Tu verras que tu sentiras un poids légèrement moins élevé en disant "je ne me sens pas intéressante" plutot que de déclarrer que tu ne l'es pas, point barre ! Le cerveau mémorise les choses et si tu te dis "je suis nulle", ton cerveau fera un lien entre "moi" et "nulle"... Ca fait des dégats tout ça ! Tu n'es pas inintéressante, tu n'es PAS ENCORE toi-même parce que tu te cherches. Tu peux peut-être demander à tes amies dans un moment calme ou vous pouvez parler tranquillement "Parfois, je me sens pas intéressente... je n'arrive pas très bienà trouver ma place. Ca me gène..." Tu verras bien ce qu'elles te répondent. Essaie ! Parfois, on se fait des idées. j'ai cru aussi que les gens avec qui j'étais cette année me détestaient ou servaient de moi pour les cours, ou qu'elles m'en voulaient et je n'osais plus leur parler... Et un jour, je me suis dit bon aller ! je me lance. je leur ai parlé normalement, je leur ai dit que parfois je n'étais pas très bien, etc... et elles m'ont dit que ce n'était pas grave et qu'elles comprennaient. Garde courage; ne te mets pas la pression. Une chose à la fois, n'oublie pas !

je ne sais pas ce que je suis